ÉVÉNEMENTS

BLACK SUMMER FESTIVAL au CABARET SAUVAGE (Paris) – 14/07 au 02/08 2014

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Arrière-plan
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Du 14 juillet au 02 aout 2014, le BLACK SUMMER FESTIVAL sera la quatorzième édition du Festival d’été du Cabaret Sauvage!
Cette année coup de projecteur sur les musiques noires: Funk, Soul, Reggae, Afrobeat, Jazz, Hip-Hop, Blues, Salsa…


BLACK SUMMER FESTIVAL au CABARET SAUVAGE

– Lundi 14 juillet 2014 BETTYE LAVETTE
Concert • Ouverture des portes 19h30 • Tarif : 30 euros en prévente (hors frais de loc.)

BETTYE LAVETTE
Soul Music
Légende de la ‘soul music’ possédée d’une voix incroyablement expressive, Bettye Lavette fera l’ouverture du Black Summer Festival au Cabaret Sauvage!
Des hits dans les années 60, des tournées avec Otis Redding, des albums sur les plus prestigieux labels… et des années de gloire pour « The Great Lady of Soul » !
Outre des textes écrits par Fiona Apple, Dolly Parton, Sinéad O’Connor…, Bettye LaVette a dans la voix ce que beaucoup de jeunes chanteuses R’n’B n’ont pas : une douleur, qui pince immédiatement le coeur de l’auditeur.
Après le succès de son album « Interpretations: The British Rock Songbook » en 2010, où elle s’attaque au répertoire britannique (The Who, Pink Floyd, Moody Blues, Clapton, The Beatles…), la chanteuse souvent comparée à Tina Turner pour son timbre rauque, revient à ses origines, la soul, avec « Thankful N’ Thoughtful » son dernier album gorgé de chaleur et d’énergie.
SUR SCENE :
Bettye Lavette : chant // Brett Lucas : guitare // Alan Hill : keyboards (music director) // Darryl Pierce : batterie // James Simonson : basse
www.bettyelavette.com

– Jeudi 24 juillet 2014 GEORGE CLINTON & PARLIAMENT FUNKADELIC + SPLEEN
Concert • Ouverture des portes 19h30 • Tarif : 41,80 euros en prévente (frais de loc. inclus)

GEORGE CLINTON & PARLIAMENT FUNKADELIC
PFunk
George Clinton est né à Kannapolis (Michigan), le 22 juillet 1941.
Il forme son premier groupe, Parliament, en 1955.
Associée à une rythmique funk, répétitive et tribale, nappée de guitares fuzz, de wha-wha, de cuivres en piston et d’harmonies vocales purement soul, cette nouvelle sauce psychédélique jette les bases du Pfunk.
Premier succès, enfin, avec «I Just Wanna Testify», en 1967.
Parliament réunit bientôt une quarantaine de musiciens sous la bannière multicolore de son Pfunk (le P de Parliament funk, ou pour Psyché funk), et rencontre un énorme succès avec des albums comme «Mothership Connection» (en 1976) ou «The Clones of Doctor Funkestein».
Années 80. Cheveux bariolés, gris-gris autour du cou, il crée une nouvelle structure, le P.funk All Stars.
«Atomic Dog» remporte un énorme succès en 1983.
Il a signé depuis une série d’albums funky soul pimentés, toujours politiquement incorrects.
George Clinton est l’un des pères du funk, il est le créateur du Pfunk, sa branche la plus déjantée, et il a déjà influencé au moins trois générations de funkateers !
SUR SCENE :
George Clinton : musical director, lead vocals // Lige Curry : bass // Michael Hampton : guitar // William Payne : singer, keys // Lashonda Clinton : rapper // Jerome Rodgers : keys // Robert Johnson : singer // Joseph McCreary : drummer // Greg Thomas : sax // Bennie Cowan : trumpet // Ricardo Rouse : guitar // Daniel Bedrosian : keys // Tonysha Nelson : singer // Kendra Foster : singer // Paul Hill : singer // Carlos McMurray : dancer // Steve Boyd : singer // Garrett Shider : guitar, singer // Benjamin Cowan : drummer // Robert Bunn : bass
www.georgeclinton.com

SPLEEN
Hip-Hop Funk
On le connaissait avant l’émission THE VOICE comme un artiste talentueux, surprenant, mélangeant Groove et Hip hop.
On a d’ailleurs bien vu cela dans le show tv, l’artiste le plus polémique, défrayant la chronique pour notre plus grand bien… ça n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il en est parti…Avec 3 albums à son actif, Spleen évolue au sein d’un univers de funk hybride et vocal, de blues hip-hop contemporain, virtuellement situé au croisement des boulevards Prince, Keziah Jones et The Roots.
Seul avec sa guitare ou entouré de musiciens, ce jeune showman transpire la sincérité tandis que de sa musique se dégagent forte sensibilité et caractère.
www.facebook.com/spleenofficial

– Mardi 29 juillet 2014 FRED WESLEY & THE NEW JB’S + BIBI TANGA

Concert • Ouverture des portes 19h30 • Tarif : 22 euros en prévente (hors frais de loc.)



FRED WESLEY & THE NEW JB’S

Jazz Funk

Né le 04 juillet 1943 à Columbus (Géorgie), Fred Wesley grandit dans l’Alabama, où, sous l’impulsion d’une grand-mère professeur de musique, il apprend le piano.

Son père, leader d’un big band jazz, l’encourage à suivre des études musicales et élargir sa palette par la trompette puis le trombone.

Après des débuts dans un orchestre amateur, Fred Wesley est enrôlé sur la Ike & Tina Turner Revue.

Le tromboniste dégagé des obligations militaires (et musicales en ce qui le concerne), forme son premier groupe The Mastersound en 1967, dans un esprit hard bop, jusqu’à l’invitation à rejoindre l’orchestre de James Brown, The J.B.’s.

De « Say It Loud (I’m Black and I’m Proud) » (1968) à The Payback (1973), Fred Wesley s’impose comme le directeur musical de l’inventeur du funk, participant grandement aux arrangements de classiques comme « Mother Popcorn » ou des albums Black Caesar et Slaughter’s Big Rip-Off.

La collaboration souvent émaillée de disputes s’interrompt fin 1969 pour reprendre en 1971, s’achève avec les somptueux albums des JB’s Doin’ It To Death (1973), Damn Right I Am Somebody et Breakin’ Bread (1974).

Fred Wesley ne reste pas longtemps sans emploi. Engagé dans la famille Parliament-Funkadelic de George Clinton et participe au démoniaque Mothership Connection (1976).

L’année suivante sort son premier album A Blow for Me, A Toot for You enregistré avec son groupe The Horny Horns.

Say Blow by Blow Backwards, en 1979, est orienté vers le jazz de ses débuts.

Le tromboniste diversifie ses activités en produisant le premier album de Kameleon et en offrant ses services de jazzman d’élite sur les albums d’Earth, Wind & Fire, Barry White, The Gap Band ou Curtis Mayfield.

Recentré sur sa carrière en 1990 avec New Friends, Fred Wesley enregistre de façon boulimique tout au long de la décennie et tourne avec The JB Horns.

Au Fred Wesley Group et Fred Wesley Quartet succèdent son autobiographie Hit Me Fred: Recollections of a Sideman (2002) et les albums Wuda Cuda Shuda (2003), It Don’t Mean a Thing If Ain’t Got That Swing (2006) et With a Little Help from My Friends en 2010. Fred Wesley enseigne la musique à l’Université de Caroline du Nord.

SUR SCENE :

Fred Wesley : trombone // Bruce Cox : drums // Dwayne Dolphin : bass // Peter Madsen : keyboards // Reggie Ward : guitar // Ernie Fields Jr. : sax

www.funkyfredwesley.com



BIBI TANGA

Rock Afrogroove

Né à Bangui en Centrafrique, Bibi Tanga voyage pendant son adolescence aux côtés de son père diplomate.

Il réside successivement en Russie, aux Etats-Unis et en Belgique, mais c’est en France qu’il sort un premier album intitulé « Le Vent qui Souffle », produit par Emilie Pianta et la Malka Family en 2000.

Déjà, la convection musicale des trois continents (Afrique, Europe, Amérique) affuble son groove d’une tonalité originale.

En 2003, Bibi croise le chemin du Professeur Inlassable, sorcier de studio et bidouilleur électro avec qui il fomentera « Yellow Gauze » en 2007.

Les deux complices fondent The Selenites et trouvent un équilibre céleste à leurs aspirations soul-funk sur les deux disques suivants (« Dunya » en 2010 et « 40 Degrees of Sunshine » en 2012).

Ils enquillent plus de 100 concerts en Europe, en Inde et en Afrique.

Cinquième étape de sa riche discographie, « Now » est aujourd’hui le premier disque véritablement autoproduit par Bibi Tanga lui-même.

Dans le 11ème arrondissement de Paris, on le croise souvent en terrasse, guitare dans le dos, buvant un café noir avant de filer pour une répétition ou un enregistrement.

Parigot d’adoption, fier de sa gouaille et de sa casquette gavroche, Bibi Tanga a aussi l’Afrique dans le coeur.

Dès que son agenda de ministre du funk le lui autorise, il saute dans un avion « comme on monte dans une machine à remonter le temps », pour atterrir dans le noble pays de ses ancêtres.

Si l’Afrique est inscrite dans son ADN musical depuis le premier jour, l’Amérique a façonné son sens du groove. La soul de Curtis Mayfield et Sly Stone nourrit ses compositions depuis cinq albums.

Afin d’obtenir ce groove anglais plus rugueux et épuré, Bibi a resserré les rangs de sa formation. Des Selenites qui l’accompagnaient sur les deux épisodes précédents, il ne reste que le guitariste Rico Kerridge.

Bibi Tanga se présentera sur scène dès le printemps 2014 avec seulement trois musiciens derrière lui, un défi stimulant pour l’auteur-compositeur-interprète toujours en quête de liberté.

SUR SCENE :

Bibi Tanga : basse chant // Rico Kerridge : guitare chant // Stephane « Pit » Le Navela : claviers choeurs // Mike Bodjo : batterie chant // FRed Mateu : Son

www.facebook.com/bibitanga



– Mercredi 30 juillet 2014 POLY-RYTHMO DE COTONOU
Concert • Ouverture des portes 19h30 • Tarif : 20 euros (hors frais de loc.)

POLY-RYTHMO DE COTONOU
Funk Soul Afrobeat
Certains secrets méritent d’être dévoilés. Le légendaire Tout-Puissant Orchestre Poly-Rythmo et son éternelle jeunesse font partie de ces trésors cachés enfin révélés pour le meilleur !
Même si le groupe est un des plus vieux et des plus prolifiques d’Afrique (plus de 42 ans d’existence et quelques 500 disques au compteur), il était aussi étrangement l’un des plus méconnus.
L’Orchestre est une véritable institution qui a accompagné les soubresauts historiques qu’a vécu l’Afrique de l’Ouest : l’enthousiasme des jeunes années d’indépendance, la Révolution, le multipartisme et le libéralisme avant de succomber à la hype occidentale ces dernières années grâce à la (re)découverte de leurs vinyles, souvent enregistrés autour d’un seul micro, désormais collectors.
Au Bénin, le Poly-Rythmo a grandi avec les yéyés et Salut Les Copains en assumant un penchant pour James Brown à qui il rend hommage en version vaudoue… Même si l’orchestre a joué avec Fela, Manu Dibango ou Miriam Makeba, et réveillé les Béninois sur les ondes de la radio nationale, il n’était jamais sorti d’Afrique. Le Poly Rythmo a failli périr dans l’oubli sans jamais reprendre le chemin des studios…
De fils en aiguilles vaudous, de passeports neufs en instruments collectés, les visas sont enfin établis, et voici en août 2009 tous les membres originels du groupe encore vivants convaincus de prendre le chemin de l’Europe!
Au programme : l’ouverture du festival Jazz à la Villette, le Barbican de Londres, le Paradiso à Amsterdam, etc…
Le défi est relevé au-delà des espérances et les tournées s’enchaînent en 2010 : USA, Canada, Brésil, Angleterre, Afrique… Etendard d’un pays où le « vôdun » (vaudou) a son jour férié, le Poly-Rythmo a sans doute reçu la bénédiction des oracles pour renaître de ses cendres et essaimer à travers le monde.
L’orchestre goûte aujourd’hui aux délices d’un buzz occidental, qui rend hommage à sa pléthorique discographie, qui avait jadis tapé dans l’oreille de Fela lui-même.
www.polyrythmo.com

D’autres dates sont également prévues pour ce festival:

Mardi 15 juillet 2014 • TAJ MAHAL TRIO + PURA FE
Mercredi 16 juillet 2014 • MORIARTY CHRISTINE/SALEM
Dimanche 20 juillet 2014 • BUNNY WAILER AND THE SOLOMONIC REGGAESTRA
Lundi 21 juillet 2014 • KONSHENS
Mardi 22 juillet 2014 • OSCAR D’LEON + Première partie
Mercredi 23 juillet 2014 • CHICO TRUJILLO
Vendredi 25 juillet 2014 • WE LOVE SILENCE Spéciale Black Music
Lundi 28 juillet 2014 • BEENIE MAN + Première partie
Jeudi 31 juillet 2014 • GROOVE KILLER : carte blanche à CHEICK TIDIANE SECK + GUEM
Vendredi 1er août 2014 • U-ROY + Première partie + Soul Stereo RUB A DUB PARTY
Samedi 02 août 2014 • PAPE ET CHEIKH

+ D’INFOS: Facebook.com/BlackSummerFestival ou Cabaret Sauvage

RESTAURATION : barbecue géant, salades de saison, glaces, …
BAR A COCKTAILS en extérieur : mojito, caipirinha, thé glacé, citronnade,…
STANDS :
Bananeira Rosa (bijoux), Bubus Fab (accessoires à partir de disques vinyls), From Democles (vêtements d’inspiration africaine), Yamok (accessoires graphiques), …et bien d’autres !

BLACK SUMMER FESTIVAL AU CABARET SAUVAGE
Parc de la Villette 211 avenue Jean Jaurès • 75019 Paris
Tél : 01 42 09 03 09
Fax : 01 42 09 11 17
E-mail : cabaret@cabaretsauvage.com

Écrit par: Phil

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